Test d’infiltrométrie

Bâtiment tertiaire Test d’infiltrométrie

Dans le neuf pour les bâtiments tertiaires

La problématique de l’étanchéité à l’air se pose aujourd’hui sur des bâtiments volumineux, avec de nombreux équipements, mais sur lesquels l’impact peut être important :

–  Consommation énergétique
–  Confort d’utilisation
–  Contraintes techniques : environnement contrôlé de process, risque sanitaire

Il convient, évidemment, pour maitriser ces risques, de procéder à des phases de contrôle et de mesure. Néanmoins, si les techniques de mesures sont aujourd’hui maitrisées pour la plupart des projets de logements, les mesures sur bâtiments grand volumes restent des problématiques spécifiques.

Quelles règlementations sur l’infiltrométrie dans le neuf ?

A ce jour, il existe deux grandes familles d’obligation de résultats en étanchéité à l’air :

– L’exigence règlementaire: en réponse à la règlementation thermique, ou à une demande de labellisation spécifique (BBC, PassivHaus)
– L’exigence contractuelle: pour des raisons diverses, la maitrise d’ouvrage impose une valeur de perméabilité par la voie des pièces de marché.

Rappel de quelques valeurs en Q4Pa-Surf :

– Bâtiment collectif RT2012 : 1.0 m3/h/m²
– Bâtiment d’enseignement RT2005 : 1.7 m3/h/m²
– Bureau RT RT2012 : 1.7 m3/h/m²
– Autres usages RT2005/RT2012 : 3.0 m3/h/m²

Pour le secteur tertiaire, une valeur par défaut est prise en compte dans le calcul thermique.

Besoin d’une intervention pour une réparation ou tout autre projet en neuf ?

Contacter notre agence

Perméabilité à l’air et rénovation ?

Dans la cadre des projets de rénovation énergétique de bâtiment, le niveau de perméabilité à l’air et la recherche qualitative des fuites sont des points importants à prendre en compte.

Il est pertinent de mesurer l’état initial pour deux raisons principales :

– Quantifier la source de gain possible sur la perméabilité à l’air
– Identifier des travaux simples et peu onéreux pour rendre sa maison étanche à l’air

Suite à cette première infiltrométrie, une seconde mesure est préconisée en phase travaux, avant la mesure finale qui permet de valider la performance et de répondre à d’éventuels critères (aide régionale, appel à projet, certification).